Rencontre Chemin d’espérance 16 : “Après l’échec, pouvoir se relever”

Familles

Chemin d’espérance 16 propose une rencontre samedi 14 septembre de 14h30 à 17h à la salle Saint-Pierre Aumaître de la Maison Diocésaine

Subi ou choisi, le divorce se vit dans une souffrance profonde, avec de lourds impacts psychologiques et spirituels, tant au niveau familial, social que relationnel. 

Le chemin de reconstruction est, pour la plupart, long et douloureux.

S’il est important de chercher à se relever, est-ce toujours possible ?

Des questions pour préparer notre rencontre :

Qu’est-ce qui m’aide ou m’empêche de me relever ?
Sur qui, sur quoi puis-je trouver appui ?
Qu’est-ce qui est sorti de cet échec, et qui peut, après relecture, être considéré comme positif ?

Avant la rencontre, nous vous invitons à méditer l’Évangile de Marc (5, 21-43), en notant ce qui vous touche dans ce texte, et comment cela résonne en vous.

Jésus regagna en barque l’autre rive, et une grande foule s’assembla autour de lui. Il était au bord de la mer. Arrive un des chefs de synagogue, nommé Jaïre. Voyant Jésus, il tombe à ses pieds et le supplie instamment : « Ma fille, encore si jeune, est à la dernière extrémité. Viens lui imposer les mains pour qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. »
Jésus partit avec lui, et la foule qui le suivait était si nombreuse qu’elle l’écrasait. 


Or, une femme, qui avait des pertes de sang depuis douze ans… – elle avait beaucoup souffert du traitement de nombreux médecins, et elle avait dépensé tous ses biens sans avoir la moindre amélioration ; au contraire, son état avait plutôt empiré –…Cette femme donc, ayant appris ce qu’on disait de Jésus, vint par-derrière dans la foule et toucha son vêtement. Elle se disait en effet : « Si je parviens à toucher seulement son vêtement, je serai sauvée. » À l’instant, l’hémorragie s’arrêta, et elle ressentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal. Aussitôt Jésus se rendit compte qu’une force était sortie de lui. Il se retourna dans la foule, et il demandait : « Qui a touché mes vêtements ? » Ses disciples lui répondirent : « Tu vois bien la foule qui t’écrase, et tu demandes : “Qui m’a touché ?” » Mais lui regardait tout autour pour voir celle qui avait fait cela. Alors la femme, saisie de crainte et toute tremblante, sachant ce qui lui était arrivé, vint se jeter à ses pieds et lui dit toute la vérité.
Jésus lui dit alors : « Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix et sois guérie de ton mal. » 

Comme il parlait encore, des gens arrivent de la maison de Jaïre, le chef de synagogue, pour dire à celui-ci : « Ta fille vient de mourir. À quoi bon déranger encore le Maître ? » Jésus, surprenant ces mots, dit au chef de synagogue : « Ne crains pas, crois seulement. » Il ne laissa personne l’accompagner, sauf Pierre, Jacques, et Jean, le frère de Jacques. Ils arrivent à la maison du chef de synagogue. Jésus voit l’agitation, et des gens qui pleurent et poussent de grands cris. Il entre et leur dit : « Pourquoi cette agitation et ces pleurs ? L’enfant n’est pas morte : elle dort. » Mais on se moquait de lui. Alors il met tout le monde dehors, prend avec lui le père et la mère de l’enfant, et ceux qui étaient avec lui ; puis il pénètre là où reposait l’enfant. Il saisit la main de l’enfant, et lui dit : « Talitha koum », ce qui signifie : « Jeune fille, je te le dis, lève-toi ! » Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher – elle avait en effet douze ans. Ils furent frappés d’une grande stupeur. Et Jésus leur ordonna fermement de ne le faire savoir à personne ; puis il leur dit de la faire manger.


Pour aller plus loin :

Seigneur, tu m’appelles par mon nom
Seigneur, je le sais, tu m’appelles par mon nom.
Si j’écoute, si je développe cette oreille intérieure, celle du cœur profond, alors je parviens à entendre ta voix murmurer en moi : « Tu es mon enfant bien-aimé. »
Alors, fort de cette certitude, je peux passer la porte de l’enclos, puisque tu es le passage, la Porte.
Oui, Seigneur, avec toi je ne crains rien. Je marche au milieu de mes frères, si différents dans leurs croyances, leur incroyance, leur origine et leur culture. Je peux les rencontrer sans crainte, faire route avec eux, car tu es avec moi.
Gloire à toi qui m’appelles à sortir, à quitter l’enclos pour risquer l’inconnu dans l’histoire des hommes.
Anonyme

En savoir plus

Contact : chemindesperance@gmail.com – 06 62 00 85 64

Animées par des personnes qui ont connu l’épreuve du divorce, deux rencontres par trimestre réunissent des personnes séparés, divorcées, remariées ou non. Possibilité de rendez-vous individuel gratuit avec une personne formée à l’accompagnement.

Partagez cette page à vos amis !




Télécharger au format PDF

Contact

Pastorale Familiale en Charente
226 Rue de Bordeaux, Angoulême
pastofamiliale@dio16.fr

Les chantiers de notre diocèse

Donner pour l’installation d’une communauté à Bassac

UN NOUVEL AVENIR POUR L’ABBAYE MILLÉNAIRE DE BASSAC, SI CHÈRE AU CŒUR DES CHARENTAIS, SE DESSINE ENFIN ! Un prêtre, accompagné de plusieurs permanents, ont rejoint l’abbaye début février 2022 pour animer au quotidien un lieu de prière et d’hospitalité ouvert à tous, dans l’esprit de laudate si, avec une attention particulière confiée par mgr […]
En savoir plus
153 616 € financés sur un objectif de 210 000 €

Soutenons ensemble la rénovation de la façade de la Maison Diocésaine !

Dès l’automne prochain, notre Maison diocésaine devrait commencer à faire peau neuve. La Maison diocésaine est au centre et au service de l’Église en Charente : elle héberge tous les services diocésains, certains mouvementset des associations qui comptent dans le paysage charentais : RCF Charente, BD Chrétienne, etc… Elle profite d’une situation géographique exceptionnelle, au […]
En savoir plus
155 116 € financés sur un objectif de 162 000 €

Je recherche