Georges Brassens, néoanarchiste et anticlérical déclaré, a beaucoup dit et médit , chanté et caricaturé les religions et surtout celle dans laquelle il avait été élevé par sa mère, la religion catholique. Il connaissait bien les Écritures et l’Évangile auxquels il a souvent fait référence. Pour illustrer sa foi en la Fraternité, le Pardon et l’Espérance, je n’ai pas su choisir entre deux de ses chansons et vous les propose donc toutes les deux.
Celui qui a mal tourné – 1957
Les quatre bacheliers – 1966