Le partage de l’épreuve de chacun, dans l’écoute et le respect de l’autre, permet de nous aider mutuellement et de surmonter nos pertes, nos blessures, nos peurs. Être écouté et entendu est apaisant et réconfortant. Entendre l’histoire de l’autre aide à se comprendre.
Pour chacun, les mots pour le dire sont différents, mais ils peuvent rejoindre, interroger, interpeller. Nous ne sommes pas seuls à vivre ce que nous vivons.
Raconter l’histoire de sa séparation, mettre en mots ce que l’on vit permet de mieux se comprendre et de prendre du recul.
Sous le regard aimant du Christ qui vient nous relever, le groupe “Chemins d’Espérance 16” propose un chemin de reconstruction et de réconciliation aux personnes séparées, divorcées, remarié ou non
DES QUESTIONS POUR PRÉPARER NOTRE RENCONTRE :
- Qu’est-ce qui m’a fait venir dans le groupe, et qu’est-ce que j’en attends ?
- Quelle est mon histoire ?
AVEC LA PAROLE DE DIEU
Avant de nous retrouver, Nous vous invitons à vous arrêter avec le livre d’Isaïe. Ce passage éclairera notre réflexion personnelle et commune au cours de la rencontre. (noter ce que je re-découvre ; ce qui me questionne, résiste ou que j’aimerais mieux comprendre ; ce qui rejoint mon expérience.)
« Une femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles ? Même si elle l’oubliait, moi, je ne t’oublierai pas.
Car je t’ai gravée sur les paumes de mes mains, j’ai toujours tes remparts devant les yeux. »
Pour aller plus loin
Dieu TE REGARDE
Toi, tout personnellement, tel que tu es.
Il t’appelle par ton nom. IL TE VOIT, il te comprend, ne t’a-t-il pas façonné ?
IL SAIT ce qui se passe en toi, les pensées et les sentiments qui te sont propres, tes dispositions, tes goûts, ta force et ta faiblesse,
IL TE VOIT en tes jours de joie ou de tristesse.
IL LIT sur ton visage le sourire ou les larmes, la santé ou la langueur.
IL REGARDE avec tendresse tes mains et tes pieds.
IL ECOUTE ta voix, le battement de ton cœur, le souffle de ta respiration
Tu ne peux t’aimer mieux qu’il ne t’aime.
Cardinal Newman, dans Panorama, septembre 2001