| Le jeûne « L’homme ne vit pas seulement de pain. » Tant de plaisirs superficiels remplissent notre vie, masquant nos désirs les plus profonds… De quoi avons-nous vraiment faim ? Le jeûne nous permet d’y voir clair : se priver, c’est revenir à la simplicité des enfants de Dieu.
Jeûnez pour choisir les nourritures essentielles que sont la Parole de Dieu et l’ouverture du cœur.
Vous retrouverez ainsi le goût du partage et la saveur du don de soi. |
| | La prière Marcher au désert nous éloigne des bruits de notre vie. Dans le silence enfin revenu, laissons monter le murmure de la prière. C’est à l’heure la plus chaude, celle où nous avons soif, que Jésus vient à notre rencontre. Aussi humble soit-elle,
la prière est toujours la rencontre de deux soifs, celle de Dieu et la nôtre. Faire silence, prier, écouter ; le carême nous invite au cœur à cœur, source véritable d’amour et de paix. |
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| | « Pour moi, la prière, c’est un élan du cœur, c’est un simple regard jeté vers le Ciel, c’est un cri de reconnaissance et d’amour au sein de l’épreuve comme au sein de la joie ; enfin, c’est quelque chose de grand, de surnaturel, qui me dilate l’âme et m’unit à Jésus. »
Ces paroles de la petite Thérèse nous donnent de l’élan : prier est tout simple !
Il suffit, chaque jour, de tourner notre regard vers Dieu, de lui exprimer notre gratitude. Et pas seulement quand tout va bien… Dans la joie comme dans les soucis, priez fidèlement. La prière quotidienne, aussi humble soit-elle, a un secret : elle ouvre à Dieu la porte de nos cœurs. Ainsi, par sa prière, Thérèse a été portée vers un amour plus grand qu’elle. Ces mots d’amour venus du cœur nous transforment. Confiance, amour, don de soi… La prière quotidienne, aussi humble soit-elle, a un secret : elle ouvre à Dieu la porte de nos cœurs. Ainsi, par sa prière, Thérèse a été portée vers un amour plus grand qu’elle. Ces mots d’amour venus du cœur nous transforment. Confiance, amour, don de soi… En un mot, la prière fait de nous des saints ! Avec Thérèse, la sainteté est accessible : pleine de confiance et d’abandon, la prière nous y mène tout droit. Et l’on devient capable de
« tout donner et se donner soi-même » | | |
| | Mon temps de prière « Seigneur, ma faiblesse vous est connue ; chaque matin je prends la résolution de pratiquer l’humilité et le soir je reconnais que j’ai commis encore bien des fautes d’orgueil. À cette vue je suis tentée de me décourager mais, je le sais, le découragement est aussi de l’orgueil. Je veux donc, ô mon Dieu, fonder sur Vous seul mon espérance ; puisque vous pouvez tout, daignez faire naître en mon âme la vertu que je désire. Pour obtenir cette grâce de votre infinie miséricorde,
je vous répéterai bien souvent :
Ô Jésus, doux et humble de cœur, rendez mon cœur semblable au vôtre ! » Sainte Thérèse |
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