Le Père Ernest Suaudeau est décédé le jeudi 9 janvier 2025
Mgr Hervé GOSSELIN,
les prêtres et les diacres du diocèse d’Angoulême
vous font part, dans l’espérance de la Résurrection,
du décès du Père Ernest SUAUDEAU
dans sa 98e année.
Ses obsèques seront célébrées en l’église Saint Mathias de Barbezieux le jeudi 16 janvier 2025, à 9h45.
Le corps repose à la Maison diocésaine (226 rue de Bordeaux – 16000 Angoulême).
Visites possibles de samedi à mercredi, de 9h à 18h.
Biographie
Voici quelques dates et repères de sa vie ecclésiale.
Ernest SUAUDEAU est né le 20 août 1927 à La Boissière de Montaigu, tôt domicilié à Bazoges-en-Paillers (Vendée) ;
• 1940 : entrée au Petit Séminaire de St-Laurent-sur-Sèvre, puis Grand Séminaire à Luçon ; des problèmes de santé le conduisent en Charente ;
• ordonné prêtre le 5 juillet 1953 à Bazoges pour le diocèse de Luçon, puis retour en Charente pour parfaire sa guérison ;
• aumônier de l’hôpital de Barbezieux, le 16 juillet 1954 puis de l’école St-Mathias de Barbezieux à partir de 1961 ;
• devenu vicaire économe de Barret en 1974, le Père Suaudeau est incardiné au diocèse d’Angoulême le 23 février 1982 ;
• vicaire à L’Houmeau, avec la responsabilité de Gond-Pontouvre, le 1er septembre 1982 ; devient aumônier du M.E.J.
• curé de Chalais-Sérignac-St Christophe et des clochers du secteur en juillet 1987 ; il devient curé de la nouvelle paroisse de Chalais le 26 septembre 1993 ;
• en résidence à Montmoreau, au service du doyenné Sud-Charente, au 1er septembre 2000 ; élu membre du Conseil Presbytéral le 21 janvier 2001 ;
• en résidence à Puypéroux, à partir de septembre 2003 puis à l’Hôtellerie de l’abbaye de Maumont (Juignac) ; prêtre accompagnateur de l’équipe ACGF en janvier 2006.
Le Père Suaudeau prend ensuite ses quartiers à la maison diocésaine d’Angoulême puis à la Résidence de la Personne Agée à Barbezieux et revient à Angoulême où il finit ses jours à l’EHPAD Les Jardins de la Garenne.
Une réponse sur « Décès du Père Ernest Suaudeau »
Une figure d’intelligence et d’amour qui disparaît. J’ai toujours vouvoyé le père Suaudeau, malgré l’affection que je lui portais. Il était un véritable prêtre.