“VIVRE” – rencontre chemin d’Esperance 16

Diocèse d'Angoulême

“VIVRE”- Appelés à vivre, quand le divorce cohabitent des envies de vie et de mort.

Nous sommes tous enfants de Dieu.
Lors du baptême du Christ, il y eut une voix venant des cieux : « Tu es mon Fils bien aimé ; en toi, je trouve ma joie ».

Nous sommes aussi ses enfants bien aimés, appelés à vivre…

Des questions pour préparer notre rencontre 
  • Qu’est-ce qui me fait vivre aujourd’hui ?
  • Là où j’en suis, quel avenir puis-je envisager ?
avec la parole de dieu

Le baptême de Jésus, dans l’évangile selon st Marc 1, 2-11 éclairera notre réflexion personnelle et commune au cours de la rencontre. 
Avant de nous retrouver, laissons la voix descendre en notre coeur :
« Tu es mon Fils bien aimé ; en toi, je trouve ma joie ».

Evangile de Marc 1, 2-11

Il est écrit dans Isaïe, le prophète : Voici que j’envoie mon messager en avant de toi, pour ouvrir ton chemin. Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers.
Alors Jean, celui qui baptisait, parut dans le désert. Il proclamait un baptême de conversion pour le pardon des péchés. Toute la Judée, tous les habitants de Jérusalem se rendaient auprès de lui, et ils étaient baptisés par lui dans le Jourdain, en reconnaissant publiquement leurs péchés. (…) Il proclamait : « Voici venir derrière moi celui qui est plus fort que moi ; je ne suis pas digne de m’abaisser pour défaire la courroie de ses sandales. Moi, je vous ai baptisés avec de l’eau ; lui vous baptisera dans l’Esprit Saint. »

En ces jours-là, Jésus vint de Nazareth, ville de Galilée, et il fut baptisé par Jean dans le Jourdain. Et aussitôt, en remontant de l’eau, il vit les cieux se déchirer et l’Esprit descendre sur lui comme une colombe.

Il y eut une voix venant des cieux : « Tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie. »

Pour aller plus loin

Je meurs quand je refuse que les autres soient différents de moi, parce que j’ai peur d’apprivoiser ce que je rejette en moi.

Mais je renais dès que j’accepte de m’aimer sans condition.

Je meurs quand j’abandonne après une chute, parce que je doute de mes talents. Mais je renais dès que je me relève avec la confiance d’être maintenant plus fort.

Je meurs quand j’écrase l’autre, parce que j’éprouve le terrifiant besoin de l’éliminer pour exister. Mais je renais dès qu’il me suffit de donner le meilleur de moi pur me sentir fier.

Je meurs quand je me décourage, parce que je ne vois pas encore la victoire. Mais je renais dès que mon espérance regarde plus loin que mes échecs.

Je meurs quand je limite ma souffrance à une malédiction. Mais je renais dès que je lui donne un sens pour découvrir ma mission.

Je meurs chaque fois que je renonce à pousser la porte de l’inconnu. Mais je renais autant de fois que j’accueille la vie quand elle jaillit des plus grandes profondeurs.

François Gervais, Le petit sage, Médiaspaul, 2002.

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Informations

Maison diocésaine - SALLE Ste THERESE
226 Rue de Bordeaux, Angoulême, France

samedi 26 mars 2022 à 14h30

Contacts

MERCIER Élisabeth

Responsable de Chemin d'Espérance 16
06 62 00 85 64
chemindesperance@gmail.com

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